Rencontre inattendue ( Pv : Ganondorf )

Toy Chica se promenait dans l'arcade en marchant bizarrement, un peu croche et en zigzag. Tous ça à cause de la veille, où ce fut une grosse soirée qui a finit tard. Elle avait fini tellement tard que Toy Chica s'était endormi au bar de Chez Tapper. Elle s'était réveiller en sursaut sur le bar, une chance il était encore tôt, elle avait la chance d'arriver à l'heure à son jeu vu que l'arcade n'ouvrait que dans au moins 1 heure. Donc pas de stress. Elle continuait en marcher, mais sentait ses yeux descendre, il était lourd, très lourd!

En marchant, elle passa devant plusieurs jeu ; mario, sonic, sugar rush, heroes duty,..., etc. Tous les noms y passaient, mais sans s'en rendre compte elle rentra dans un jeu et ce jeu n'était pas Five Night At Freddy's. C'était le Royaume d'Hyrule...

Quand la nuit est sur Hyrule, les sujets de Ganondorf envahissent la plaine. Mais les ordres de leur Seigneurs furent clairs : hors des parties, interdiction de faire le boxon ! Ils sont ici invités sur la plaine d'Hyrule et il convient de la respecter. Ganondorf, lui, était dans son château d'Ocarina of Time, taillé à même la roche à l'écart de la ville Gerudo. Il faisait encore nuit certes, mais l'Arcade ne va pas tarder à s'agiter et à se préparer pour l'ouverture, dans à peine plus d'une heure. Il prit donc un long moment pour se pomponner, choisir avec soin sa tenue, un plastron noir et or accompagnée d'une armure légère et souple avant d'aller faire un tour dans la plaine. Ses sujets le saluait avec respect et dévotion quand il passait sur son grand cheval noir.

Mais quelqu'un sur cette plaine ne vint pas saluer Ganondorf. Ce dernier ne s'en serait pas formalisé d'habitude, après tout il y avait de nombreux peuples qui parcouraient cette terre et qui n'avait nul besoin de venir à sa rencontre. Cependant cet Arcadien n'était pas d'ici. Et aussi proche de l'ouverture de l'Arcade, c'était assez étrange. Toujours sur sa monture, Ganondorf s'approcha. La demoiselle -puisqu'il s'agissait d'une demoiselle-ressemblait à un poussin humanoïde tout jaune, avec des pommettes roses et un petit bavoir. Avenant, le roi tendit la main à la poussine :

-Vous semblez bien fatiguée ma chère. Etes-vous perdue ?

Accompagné d'un délicat sourire. Ce n'était pas son genre de refuser de l'aide à un étranger, encore moins quand il s'agissait d'une dame : question de galanterie et de courtoisie !