Une soirée ordinaire et atypique à la Sécu' ! [PV: Matthew & Iris]

HRPG:

Ayant passée une rude journée, et ayant normalement fini mes heures, je rentra heureuse et satisfaite, chez moi. Qu'y a t-il de plus gratifiant que d'aider des gens?
J'avais déjà avalée mon dîner, j'avais déjà préparée tout pour le lendemain.
J'étais justement en train de finir de me laver, quand j'entends un appel mystérieux... Venant de la sécurité.
Alors je termine vite fait de me laver. J’attrape le téléphone environ 10 minutes plus tard. Et merde! On me demande d'aller au poste pour une affaire car il manque du personnel... On me demande si possible de venir en armure, mais une tenue décontractée pourrait même faire l'affaire, puisque tout est question de rapidité, selon eux.

Donc, j'ai pris vite fait un pantalon noir un peu moulant, un col roulé marron, un pull rose clair (avec un lapin blanc dessus mais passons!), quelques parures pour donner un côté moins triste, une paire de bottines noires à talons. Et puis, pour les cheveux, c'est embêtant, mais j'ai fait un chignon, ce qui me donne l'impression que j'ai une éponge derrière la tête...
Mais j'aurais un truc pour me défendre au cas où (et c'est ridicule) : Mes baguettes aiguisées!
Au pire, j'aurais toujours mon corps pour me défendre... Même si en frappant, je me fais très vite mal, sans mon armure.

Je me suis mise à courir à la Sécurité, une fois à la Gare Centrale.
Et une fois à la Sécurité, pour ne pas être regardée de travers, je me suis mise à marcher. Je regarde l'heure: Depuis le coup de fil, j'ai fait attendre l'individu (dit fautif) pendant environ 20 minutes. C'est énorme... Mais visiblement, les collègues ne semblaient pas mal le prendre du tout, ils semblaient même étonnés que j'arrive aussi rapidement en cas d'urgence.
Je ne citerais pas de nom, mais certaines peuvent prendre plus d'une heure pour se bouger le popotin...

J'arrive à la salle, le monsieur assis sur une chaise, avec ses menottes, pour éviter toute "agression". Je ne vois sincèrement pas en quoi ce type va m'agresser, après tout.
Quand j'arrive dans la pièce, je ferme bien la porte (de toute façon, si il y a un problème, ils ont le double).

"Bonsoir, monsieur."
J'aurais aimée lui enlever ses menottes, mais avant de faire ça, je vais m'assurer que ce type ne va pas, effectivement, me bondir dessus. Je m'installe tranquillement... Jusqu'à ce que je réalise que, je ne sais pas de quoi cet homme est accusé! Ou de quoi est-il coupable. Je lui présente tout de même mes excuses, pour l'avoir fait attendre aussi longtemps.
"Navré pour l'attente et la gêne occasionnée, monsieur. J'étais occupée et j'ai été mobilisée en dehors de mes horaires de travail à la dernière minute, et par conséquence, je n'ai pas pu venir dans l'immédiat." Je prends vite fait connaissance des notes laissées: "A commis un vol à la volée sur une victime. Le vol s'est effectué sans armes. Il a été rapidement repéré dans la soirée par un membre de la Sécurité."
Très bien! Je sais déjà que je peux lui poser une question piège, pour savoir si je pourrais le détacher. Si il mens, je le laisse, si il dit vrai, je vais lui faire cesser cette torture! (En plus, qui est l'imbécile qui lui a mis des menottes trop petites?! Il va vraiment souffrir si ça continue!)
"Pouvez-vous m'expliquer ce qui nous vaut votre visite à la Sécurité? Où étiez-vous? A quelle heure? Quelles étaient vos mobiles, ou si vous préférez, vos motivations?"

J'ai l'air assez distante et froide, mais de toute façon, je suis déjà discréditée à cause de ce foutu lapin blanc sur mon pull. Argh! Je le savais, que ce n'était pas une bonne idée de mettre un pull! (Du moins, quand on a que ce genre de vêtements qui se disent "Kawaii desu!" ("C'est mignon!").)

Aucune idée du pourquoi et du comment, mais je devine que cet interrogatoire sera long... Très très long...

Et ZUT! pourquoi il faut toujours que cela m'arrive peu avant notre petite fête entre voleur, se genre de truc? Je faisait comme d'habitude, prendre des truc dans les poches des gens et leurs faire croire qu'ils l'ont fait tomber, mais ce mec la... Il l'as très mal pris, et as crié"Voleur! Jamais cela n'aurait pût tomber de ma poche! Voleur et menteur!"
Du coup, je me suis fait emmener au poste de sécurité...

La, il m'ont mis dans une salle avec deux chaises et une table, menottes aux poignées. J'ai du attendre une bonne demi-heure au total, avant qu'une demoiselle n'arrive et commence par s'excuser du retard. Avec ironie, je répond :

-oh... Ce n'est pas grave... J'ai TOUT MON TEMPS.

puis je remarqua alors le lapin blanc sur son pull. Il y a encore des personnes qui mettent se genre de truc?? Intérieurement, je me mis a rire, mais garda mon air sérieux extérieurement. Bon... va falloir que je lui explique se qui c'est passé? allez, c'est parti!

-Ce qui fait que je suis devant vous, c'est que l'on m'accuse d'avoir volé, alors que se qu'il c'est passé, c'est que le mec a fait tomber son porte monnaie plein de pixel. je l'ai trouvé, vais pour le lui rendre, et lui, il m'accuse de lui avoir volé. J'ai beau être un voleur dans mon jeu, je sais tout de même que voler, cela ne se fait pas, hormis pour la bonne cause.

les menottes me serrent les poignées, c'est très désagréable. du coup, j'avais un peu l'air aigrie, a cause de cette douleur. Puis, je demande:

-Vous pouvez me retirer ces menottes trop petites pour moi? j'ai déjà attendu 30 minute votre arrivé, je peux attendre 5 minutes que vous rameniez des menottes plus a ma taille. Au moins, avec des menottes de bonnes dimensions, j'aurais moins l'impression d'être du bétail que l'on envoie a l'abattoir...

La, j'avais parlé avec calme, car je comptais vraiment attendre s'il le fallait, le temps qu'elle amène des menottes un peu plus grande. la confiance est mère de la sécurité, après tout.

HRPG:

L'homme m'as répondu d'un ton fort déplaisant. Et tout son discours a fait que je l'ai regardé de travers.
Je n'ai pas vraiment l'habitude des interrogatoires de ce genre, et à vrai dire, ça me déstabilise un peu.
C'est une ambiance tellement particulière... Comme il fait quand même chaud dans cette boite étriquée qui s'appelle " salle d'interrogatoire ", j'ai retirée mon pull et je l'ai posée sur mon dossier de chaise. (Matez ce magnifique et sexy col roulé marron qui siérait à la perfection aux Bonnes Arcadiennes de l'église... Avouez que ça moule quand même bien les formes.)

Je regarde d'un air légèrement mauvais le monsieur. D'une rage bien cachée, mes yeux sont passés de variances de bleu intenses à un vert électrique. Il m'as demandé de lui retirer ses menottes? Oh, pauvre bonhomme! Il pense que je suis ici pour faire de la charité, peut-être?
"Et bien..." Je lui montre une paire de menottes, pile à sa taille.
"Quel dommage, je pensais justement remplacer votre paire actuelle par celle-ci, mais votre malhonnêteté m'en retient!" Il se montre désagréable? Je rends la pareille, sans pitié.
"Si cela vous fait tant souffrir, je vous laisse pas plus d'une minute pour dire la vérité. Si vous acceptez de dire la vérité, je vous ôterai ces menottes pour les échanger avec celles-ci. Si vous refusez, vous risquez de subir ce supplice encore un moment.
Nous savons tout sur vos actions, il y a eu plusieurs témoins qui vous ont pris. Et vous avez même été filmé par les caméras! Si vous désirez réellement jouer aux fins stratèges, faites-donc. Cependant, ne vous plaignez pas des retours qui vous attendront."
Qui a pensé ici que j'ai trop de cœur quand j'exerce mon travail?
Je le fixe, et j'attends sa réponse.
"De plus, ne vous fiez même pas aux apparences. Ne me prenez pas pour une cruche, je sais très bien à quel jeu vous jouez. Croyez-moi, je peux simplement vous dire que plus vous mentirez, plus votre peine risque d'être lourde... Et insupportable."

Ah là là... Dur, d'être la responsable d'un interrogatoire. C'est encore plus dur de devoir faire du chantage. Mais comme tout tient la route - discours, expression faciale, intonation...-, il est probable qu'il cède et avoue.

D'un ton sarcastique et avec un grand sourire, je n'hésita pas non-plus à répondre à sa provocation. "Oh, allez-y, moi-aussi, j'ai tout mon temps."

se moquai-t-elle de moi? ou bien n'avais elle pas aimez ma manière de parler? Toujours est il que j'ai ces maudites menottes serrées a mes poignées, qui me font souffrir... Je m'insurge alors contre ce fait, qui va a l'encontre de certaines lois de l’arcade.

-Je ne savais pas que la "torture" était permise lors d'un interrogatoire...
Et sinon, quand vous voulez faire du chantage, il faut faire miroité a l'autre un bénéfice illusoire pour le convaincre.

Je me lève et passe derrière elle, prenant au passage, et sans qu'elle ne s'en rende compte, une des baguettes retenant ces cheveux, de préférence la plus inutile, et la cacha rapidement sous ma cape. Puis je retourne m'asseoir, avant de dire:

-Dans le cas présent, je n'ai aucun avantage a possiblement vous dire la vérité. Il vous faudra un stratagème plus pointu pour me faire parler, bien que je vous ai déjà dit la vérité. J'ai une sainte horreur de mentir!

Tout ce que j'avais dit, je l'avais dit avec calme, ne cherchant pas a paraitre agressif ou mauvais envers elle. Au contraire, je cherchai secrètement a l'aider a être plus a l'aise avec les interrogatoires, car elle ne semblait pas du tout gérer dans ce travail.


-Tout le monde a ces points forts et ces points faibles. Trouver le point faible de l'autre peut être une bonne stratégie pour le faire parler. Mais bon... Je suis assez mauvais prof, et il vous faudra persévérer pour pouvoir faire parler n'importe qui!

La, c'était la couche de trop sans doute. Oser le faire passer pour un prof devant une personne ayant plus d'autorité que moi, je risquai surement de le regretter tôt ou tard.

Pour qui se prends t-il? Mais pour qui?
"Il est vrai que ce n'est pas très commode d'employer ce genre de tech..." Il passe derrière moi, et bidouille je ne sais quoi. J'ai senti une baguette partir. Alors quand il retourne à sa place, je cherche si elle ne serait pas tombée quelque part. Mais elle est introuvable.

Et c'est alors qu'il commence à me faire la morale. Il n'a vraiment aucune gêne! Ca alors...
"Insinuez-vous qu'une femme ne peut pas s'occuper d'un interrogatoire? Voilà ce qui est une pensée bien fâcheuse, Monsieur. Savez-vous que c'est du sexisme? Cependant, je sais que c'est une technique d'interrogatoire peu commode, et c'est pour cela que je vais faire quelque chose."
Je le tient fermement, je glisse la paire adaptée sur ses poignets et enlève celle qui ne l'est pas. Et j'attache bien les liens au bureau pour qu'il ne se relève pas.

"Cependant monsieur, nous savons que vous nous cachez la vérité. Pour quelle obscure raison vous ne l'assumez pas? Auriez-vous peur des représailles de quelqu'un? En tant que membre de la Sécurité, je peux vous assurer que nier les faits ne vous fera pas avancer. Si vous nous confiez tout, nous pourrons faire quelque chose pour vous. Comme par exemple, vous laisser simplement avec une petite garde à vue d'une semaine. Qu'en pensez-vous?"

Je réfléchis un instant. Et si...? Et si il volait juste pour subsister? C'est bien possible, mais en quoi voler une vingtaine de portefeuilles l'aiderait, sachant qu'un seul lui suffirait? Ou alors, il tient à donner les moyens de vivre à un groupe de personnes, comme ses collègues, ses amis, sa famille?
"Par ailleurs, vous avez dit que vous ne volez que pour la bonne cause. Êtes-vous une personne démunie? Ou est-ce que vos proches sont extrêmement pauvres? Savez-vous que vous pouvez obtenir des aides grâce à des associations caritatives? Cela vous permettrait de vous ressourcer en toute légalité, sans voler et sans tâcher votre cassier judiciaire."
Si cette personne vole pour répondre à ses propres besoins, c'est tout de même plus inquiétant. Cela voudrait dire que ceux qui font les campagnes de sensibilisation ne font donc pas leur travail correctement.

Et c'est dans le plus grand calme que je continue mon interrogatoire. En essayant de ne pas être plus irritée que cela lors de ses remarques.

Je vît la fille de la sécurité me menotter a la table, pour éviter que je ne me lève a nouveau. Cette nouvelle paire de menottes me faisait moins mal. puis, elle lança que si je disait tout, on pourrais s'arranger pour diminuer ma peine de prison. je réfléchie un instant, avant de répondre :

-Sachez d'abord que je n'ai rien contre les femmes, elle sont tout aussi capable que les hommes. Si je vous ai parût un peu trop sérieux, veuillez m'en excuser, mais j'avais remarqué votre léger manque de confiance en entrant dans la pièce. Ensuite, quand je dit "pour la bonne cause", c'est a dire voler aux riches pour donner aux pauvres. et encore, je ne l'ai fait qu'une fois. Sinon, non. je ne suis pas dans le besoin, et mes amis non plus. Entre "voleur", on s'entraide.

Je mis voleur entre parenthésé, car certaines des membres de notre groupes sont devenu des assassins, du moins... Dans le jeu. Je suis l'un des seuls a continuer mes petits tours en dehors de la borne, au mépris des lois et des remarques que nous font toujours Lyndis, Eliwood et les autres lords.

-Quand a ce qu'il c'est passé tout a l'heure, et vu que vous me semblez avoir de bons argument, je vais vous dire la vérité. Oui, j'ai bien subtilisé le porte-monnaie du monsieur, mais je n'y ai pas enlevé un pixel. je voulais lui rendre, et voila qu'il c'est mis a hurler au voleur. Voila ce qu'il c'est réellement passé. La raison qui a fait que j'ai agis ainsi, par contre, ne compter pas sur moi pour vous la donner! Chacun a ces défauts et ces travers, et je compte ne pas faire étalage des miens.

Puis, toujours assit sur ma chaise, je me mis a regarder ces menottes qui m'entravaient. Si j'arrivai a crocheté la serrure de ces dernières avec la baguette, a moi la liberté... et aussi le fait d'être recherché... Il faut mieux que je reste tranquille pour le moment. En tout cas, même si je suis assez vantard par moment, je ne me vanterai jamais de ce fait la!

-Et pour tout vous dire, je pense que vous avez, sans vous en rendre compte, pris note de mes remarques. Mais bon... Cela ne changera rien a ce qu'il va m'arriver. donc, a partir de maintenant, je ne dirait plus, sauf bonne raison.

C'est qu'il continue toujours de cette façon! Ne pas rager est la règle d'or dans un interrogatoire... Je devrais me calmer. Bon, visiblement, le "voler pour la bonne cause" voulait tout simplement dire "voler aux riches pour donner aux pauvres". Et puis il s'enfonce encore, en disant que ses autres amis "voleurs" s'entraident.
Du calme...

Finalement, il a lâché le morceau! Enfin! Donc comme ça, il aurait subtilisé le porte-monnaie pour le rendre après à l'individu. Juste pour le plaisir de voler, et non pour le plaisir de s'enrichir. Il ne veut pas dire pour qu'elle raison il a fait ça. Mais j'ai déjà ma petite idée là-dessus.

"Non monsieur, ce n'est pas "prendre en compte des remarques" mais "s'adapter à la situation".

Vous savez, il n'y a pas de honte à avouer ses travers. Pourquoi se complexer? Après tout, nous tous sommes sous contrôle de notre code. Il y a des façons d'agir qui malheureusement ne se décident pas. En entendant votre vision des faits, j'ai très vite compris que c'est votre code qui a eu raison de votre attitude. Si cela peut vous assurer, puisque cet acte est involontaire, cela veut dire que vous allez avoir une peine assez légère. Peut-être que vous allez être sous surveillance électronique, mais il vaut mieux cela que de la prison."

Nous avons tout sur l'individu. De ce fait, je vais devoir me retirer pour parler à mes collègues de l'interrogatoire. Une fois cela terminé, sa peine sera tranchée, et il sera totalement libre dès qu'il aura entièrement purgé celle-ci.
Je ferme la serviette (porte-docs) contenant les documents et les notes de cet interrogatoire.
"Très bien, merci monsieur."
Je me lève et je sors de la salle, en fermant la porte à clef.
De toute façon, si il essaye de s'enfuir, il sera vu par les caméras de sécurité et les robots de sécurité vont venir le stopper.

... Et je me chargerais personnellement de lui...

La demoiselle qui faisait l’interrogatoire vient de sortir, sans doute pour parler avec ces collègues et décider ma peine. Je profite alors de ce moment de tranquillité pour reprendre la baguette volé précédemment. Je mis le bout de cette baguette dans la serrure des menottes, et, doucement, en fît sauté le verrou. j’étais maintenant libre de mes mouvement, mais j'avais remarqué les caméras qui étaient dans la salle. mon acte avait du être enregistré, donc fuir ne ferai qu'aggraver ma situation. Je pose donc les menottes et la baguette sur la table, puis me mît a réfléchir a la suite des événement.

*Elle peut revenir a tout moment, et voir que je me suis libéré. Cela jouera en ma défaveur a coup sur, mais il vaut mieux avouer son méfait que fuir. ou alors, je me remet ces menottes aux poignées, et non a la table comme elles étaient. en restant assit, elle pourrait croire que je n'ai pas bougé... Oui, c'est une bonne idée.*

je repris la baguette, la cacha a nouveau, puis remît les menottes a mes deux poignées, et non une a un de mes poignées et l'autre a la table,moins serrées que comme l'avait fait cette fille. un instant après que j’eus fini, la porte se rouvrît, et revoilà la fille qui entre dans la pièce. Je demande alors, avec un air totalement blasé:

-Alors? Quel est ma condamnation? Je sais que je n'aurais pas du me la jouer ausi vantard, mais bon... Il est trop tard maintenant pour reculer devant les faits.

Je suis partie discuter de la peine encourue avec mes collègues. Nous regardons tout de même le panneau de contrôle pour surveiller l'individu.

"L'individu est tout de même dangereux."
"Mais non, c'est une évidence, il ne fait pas de mal aux gens physiquement et il ne vole pas sans rendre au propriétaire!"
"Vous êtes trop naïve! On ne peut pas prendre parti pour lui ni le rejeter entièrement. Vous n'allez pas donner une punition disproportionnée quand même?"
"Que pensez-vous de la surveillance électronique? Comme il n'a pas commis un grave délit, nous pouvons le mettre simplement en surveillance, pour s'assurer que les autres soient en sécurité et qu'il ne récidive pas encore une fois."
"Ce serait une idée. Mais pour combien de temps devraient t-on lui laisser cette surveillance?"
"Je ne sais pas, peut-être pour deux semaines?"
"Deux semaines! C'est beaucoup trop long. J'aurais plutôt dit une semaine."
Et tout un débat a suivi...

Pourquoi suis-je devenue interdite, tout à coup? En regardant la surveillance, j'ai vu que la fripouille avait piquée ma baguette pour déverrouiller ses menottes! Pour ensuite le voir revenir à sa place, comme si il se doutait que j'allais revenir.
Furieuse, je lâche froidement aux collègues:
"Une surveillance permanente pendant deux semaines accompagné de deux agents, pour tentative d'évasion."

Elles semblent avoir compris. Finalement, elles retiennent ma proposition pour sa peine: Une garde à vue sévère, où il serait surveillé par deux surveillants en dehors de sa demeure.
Je me hâte à la salle d'interrogatoire, j'entre.
"Croyez-moi, vous ne devriez pas être aussi impatient...
Comme vous avez tenté de vous enfuir, vous allez avoir deux semaines de surveillance. Non-pas avec un brassard électronique, mais avec deux agents qui surveilleront tous vos actes en dehors de votre demeure dans le jeu. J'ai été trop bonne avec vous, je vous ai mis en garde, je vous ai mis un peu plus à l'aise... Et voici comment vous me remerciez. A présent, vous allez devoir assumer votre peine."

Je suis la plus neutre possible, même si cela m'énerve qu'il soit si ingrat alors que des interrogateurs/trice, j'ai été de loin la plus généreuse de toutes...

Lorsqu'elle m'annonça la peine et la raison, je fût sidéré. Juste se libérer les poignet et marcher un peu dans la salle d'interrogatoire, deux semaine? Je ne pût m’empêcher de dire:

-Deux semaines pour avoir juste marché un peu dans la salle? et bien... j'imagine la peine de ceux qui s'enfuient VRAIMENT de la salle... Dire que au lieux d'attendre, j'aurais pût disparaitre si je le voulais... enfin...

Reprenant discrètement la baguette, j’ouvris a nouveau la serrure des menottes, fît rouler la baguette sous la table, puis posa les menottes sur cette table en ajoutant:

-Bon... bah je vais attendre que ceux qui ont été assigné a ma surveillance arrivent pour rentrer dans ma borne. D'autant qu'il faut que je me prépare, il y a bientôt une fête, et j'y suis invité. C'est dans la borne "legend of zelda".

Essaye toujours de m’apitoyer, ça ne marchera pas.
"Ne jouez pas les malins, on a devinés que vous étiez en train de vous enfuir. Juste que vous avez hésité. Point. Je vous avais prévenu pourtant, comme quoi vous deviez vous tenir tranquille. Autrement, cela est mal pris et vous voyez forcément la peine doubler si vous tentez de fuir.
Pour vous répondre, un prisonnier qui parvient réellement à s'évader voit sa peine quadruplée. Cela dépend de ce qu'il a commis sur son chemin, mais cela peut aller de la simple amende en cas de dégâts matériaux jusqu'à de la prison ferme si il y a eu des arcadiens impliqués dans de la violence physique ou verbale.
Vous êtes à présent fixé sur le sujet, à présent. Si vous avez écouté ce que je viens de vous dire, réussir votre tentative d'évasion aurait été tout sauf un avantage pour vous."

Je fixe l'individu. Et mais! Le rusé! C'est donc bien lui qui a subtilisé une de mes baguettes! Je me baisse pour la récupérer. (parce qu'une seule baguette pour 1kg de cheveu, je vous assure que ça fait très mal au crâne!)
Matthew dépose ses menottes sur la table. Aucune réaction de ma part car je sais pertinemment qu'il ne pourra ni me faire de mal (car il ne veut pas voir sa peine augmenter), ni s'enfuir.
En attendant que les deux gardes arrivent, j'en profite pour me recoiffer en vitesse.

Monsieur va à une fête? Je ne savais pas. Et mais... Il va exactement dans la même fête que moi! Certes, c'est dans un petit moment, je dirais bien quelques jours. Peut-être qu'on ne se croisera pas, je pense que c'est tout de même un endroit très vaste. Et puis, peut-être qu'un de nous deux aura un empêchement. Un imprévu arrive si vite.
"D'où l'importance, monsieur, de toujours préparer en avance vos affaires. Comme ça, en cas d'imprévu, vous n'avez pas à préparer vos vêtements et par conséquent, vous gagnez du temps et vous arrivez dans les temps."

Je vois passer les deux gardes, dans les couloirs. Ce sont les deux hommes très musclés qui travaillent en équipe avec moi. Je n'apprécie pas trop ces hommes, car une fois, j'ai dû gérer un gang dangereux seule parce que ces messieurs languissaient sur la beauté des formes d'une demoiselle passant par là!
Si seulement ils avaient quelque chose dans la tête...

"Bonsoir Messieurs, je vous présente Matthew, la personne que vous devez surveiller. Matthew, je vous présente vos vigiles: A gauche il s'agit de Tom Schmidt et à votre droite d'Axel Smith. "